Comme perdu sur une ile, c’est bien à l’Aéroport international d’Osaka qu’on est. Difficile de savoir si on ne vous dit pas où atterri le vol, sauf par curiosité de voir à travers les hublots du Boeing KL0868, qui vous a embarquez d’Amsterdam, que vous vous rendez compte que vous venez de survoler une piste pas comme les autres. Sur le poste de police frontière qui vous laisse rentrer dans le pays, On passe au contrôle, pour les étrangers venus pour la première fois, une obligation de remplir la fiche aux caractères d’écriture japonaise s’impose. Grand est le bouleversement pour ceux qui ne parle ni écrive japonais ; mais tout a coup le sourire rebondi sur les visages de ces derniers en constatant que finalement une partie en version anglaise leurs est réserver.
Le temps est gris, les goutes d’eau de pluie qui tombe sur le pare-brise ne fait pas de doute, on est en automne. On peux de loin observer les nuages qui traversent les grattes ciels à travers les vitres de la voiture qui m’emmène dans la ville de Kobe tout en voyant le paysage défilé. Des échangeurs à grande échelle montrent qu’on est au pays de grandes technologies.
Les japonais sont polis, étranger ou pas ils inclinent la tête en signe de respect. Dans les stations des métros, ils font la queue par ordre d’arriver choses qu’on ne voit pas dans d’autre pays ou les passagers se bousculent pour ne pas rater le métro. Dans les rues une autre images éblouie le regard, le Kimono, la tenue traditionnelle qui n’échappe pas aux touristes qui font quelques clichés en guise de souvenir.
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