A Libreville, au printemps des présidentielles.

Valise en main, réservation sur place, destination le Gabon pour le rendez-vous présidentiel. A peine franchies les portes de l’aéroport Léon M’ba. L’odeur de la campagne se fais sentir de loin, la chaleur m’incarne, les policiers n’hésitent pas de faire leur contrôle, étudiant ou pas ce ne pas leur affaire. Effectivement le Gabon se prépare à un destin durant cette période de saison sèches

Des affiches des ponts cartes illustrant des candidats à la présidentielles frappent aux yeux des passagers et des visiteurs. Les candidats au poste de bord de mer envahissent les écrans des panneaux publicitaires implantés un peu partout dans les rues, on sent l’air de la liberté. Les gabonais bougent tout le temps, ils peuvent aller du nord de Libreville jusqu’au sud, de l’est à l’ouest suivre la campagne, personne ne les arrête, sauf que les transports en commun ne sont pas bien organisé, il faut proposé le prix par rapport au trajet.

Même si on est à un peu loin du rendez-vous présidentiel, la capitale est au coeur de la campagne. Cet événement politique ne faisant pas uniquement la Une des journaux. Dans les bars, les restaurants, les cafés et les transport, l’événement s’invite dans la vie quotidienne au point de croire que le coup d’envoi à déjà été lancé au vu d’une dizaine de candidat dont les plus sérieux Ali Bongo et Jean Ping.